Après 4 matchs dans ces Championnats d’Europe de curling à Breahead, l’équipe de France est déjà hors course pour revenir dans l’élite européenne. Elle n’a guère existé, perdant d’entrée face au Pays de Galle 6-7 à la dernière pierre, jusqu’à laisser s’échapper une victoire pourtant acquise pour mauvaise gestion du temps face à Israel, jusqu’à chuter lourdement face à la Lithuanie qui n’avait rien gagné jusque là. Un vilain coup de 5 encaissé au 6ème end témoigne d’une inhabituelle fébrilité alors que le match n’avait pas encore basculé. Entre temps, elle s’imposait face à l’Espagne 9-4.
Il en reste 3, et pas forcément des plus faciles, face à la Turquie encore invaincue, la République Tchèque et la Slovaquie, toutes 3 aux avant-postes, pour s’éviter un retour en division C. Pourtant, cette équipe de France a la capacité et le potentiel de faire face si elle parvient faire abstraction de l’ambiance particulière propre à ces grands rendez-vous, et à garder la tête froide. Cela s’appelle l’expérience.
Concernant l’élite européenne, la compétition des hommes est dominée sans surprise par les suisses qui remportent leurs 4 premiers match assez largement. La Norvège et la Suède, accompagnées par les surprenants italiens comptent chacun un défaite. Suivent la Russie et l’Ecosse curieusement battue par l’Autriche et le Danemark. Ces derniers, avec la Finlande et l’Allemagne n’espèrent déjà plus rien.
Chez lez femmes, l’Ecosse emmené par Eve Muirhead domine les débats, mais la Suède, la République Tchèque et le Danemark tiennent le choc. C’est plus difficile pour l’Allemagne la Russie et surtout la Suisse, déjà malmenée sur 2 rencontres. Pendant ce temps, Italiennes et norvégiennes n’ont encore rien marqués.
Rien n’est encore joué, les matchs vont monter en intensité. Quelques-uns seront visibles sur l’Equipe21… Profitez-en, ce n’est pas souvent.
Article digne d’un journaliste pas au courant des difficultés du curling en France… pas constructif tout ça… les clubs devraient s’entre-aider et pas se tirer dessus ! tsssssssssss
Ce n’est absolument pas une critique, on est dans le factuel : oui c’est difficile, et oui on soutient les gars de Besançon, qui sont sans discussion les plus aguerris à cet exercice.